Pan-European Seal Professional Traineeship Programme

Les candidatures pour l’année 2024-2025 sont ouvertes. Une séance d’information est organisée le vendredi 23 février 2024 de 12h30 à 14h en hybride au FabLab et sur Teams. Toutes les informations sont disponibles ici. L’échéance pour le dépôt des candidatures est fixée au mardi 27 février à midi.   The ULB is a member of the Pan-European Seal Traineeship Programme (Pan-European Seal). The Pan-European Seal is a comprehensive traineeship programme that bridges academia and the labour market in different fields (IP, law, finance, business, engineering, etc.) to promote and disseminate Intellectual Property among the Academic Community. It is promoted in partnership with two of the world’s largest IP offices, the European Union Intellectual Property Office (EUIPO) in Alicante, Spain and the European Patent Office (EPO) in Munich, Germany and their strategic University partners. This programme gives high-achieving, young university graduates access to a year-long (12 months) paid traineeship at either the EUIPO or the EPO, helping them get a foot in the door of the competitive world in a variety of fields through valuable, on-the-job, multicultural and professional work experience. Within the context of the ongoing fight against high levels of youth unemployment in Europe and the commitment thereof to social responsibility, the Pan-European Seal will offer traineeship posts every year to graduates of their university partners, administered by both of the abovementioned offices. The number of posts offered is determined on an annual basis. Application and selection of ULB prospective students is organized at JurisLab – FabLab ULB. Information are provided annually through institutional communication.
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TRIPI TRAPI

Transmettre la Réflexion Interdisciplinaire en Propriété Intellectuelle Tester la Recherche Appliquée dans un Projet Innovant   En 2023-2024, le cours d’Approche interdisciplinaire du droit de la propriété intellectuelle (DROIC5174) du Professeur Julien Cabay accueillera des étudiants de l’Ecole polytechnique et de la Faculté de droit dans le cadre du projet interdisciplinaire ‘TRIPI TRAPI’, une innovation pédagogique plébiscitée et financée par le Fonds d’encouragement à l’enseignement (FEE). Ce projet a pour objectif de Transmettre la Réflexion Interdisciplinaire en Propriété Intellectuelle (‘TRIPI’) et de Tester la Recherche Appliquée dans un Projet Innovant (‘TRAPI’). Dans le cadre d’un enseignement par projet, des groupes interdisciplinaires composés d’étudiants des deux Facultés doivent imaginer, concevoir, réaliser et documenter un objet ‘techniquement différent et juridiquement similaire’ à la chaise TRIPP TRAPP du designer Peter Opsvik, un objet emblématique du droit de la propriété intellectuelle. Pour les accompagner dans la réalisation de leur projet, les étudiants sont formés dans le cadre de trois modules d’enseignement spécifiques : Module I : Fabrication numérique et prototypage rapide (3D Printing; Laser Cutting; CNC Machining; Computer Assisted Design) Module II : Système et analyse de la propriété intellectuelle (IP Basics; IP Abstraction & Comparison; IP & Technical Constraints) Module III : Pratique des brevets (Patentability; Freedom to Operate) Tout au long de la réalisation de leur projet de groupe, les étudiants ont accès aux outils du FabLab de l’ULB. Ils sont guidés par Julien Cabay (Professeur à la Faculté de droit) et Rami Taheri (Assistant et Doctorant à l’Ecole polytechnique), accompagnés d’experts issus du monde académique et de l’industrie. A l’issue du cours, les étudiants des deux Facultés concernées seront ainsi capables de : Identifier les règles de PI applicables à un objet technique; Concevoir en groupe interdisciplinaire un objet répondant à un cahier des charges comportant des exigences techniques et juridiques (PI) ; Évaluer les possibilités de protection de la PI pour un objet technique ; Évaluer les risques qu’un objet technique enfreignent des droits de PI antérieurs.
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IPSAM – Adressing Intellectual Property Relevant Similarities In Images Through Algorithmic Decision Systems

(English version below)   La question de l’existence de similitudes pertinentes entre deux objets est centrale dans le droit de la propriété intellectuelle (PI). Extrêmement complexe, la réponse est entièrement laissée aux offices de PI et aux magistrats, respectivement dans le cadre de procédures administratives et judiciaires, sans véritables outils d’analyse. Des systèmes de décision algorithmique (ADS) ont toutefois vu le jour, principalement développés par des entreprises privées, et font désormais l’objet d’une utilisation croissante aux fins de l’application des droits de PI (surveillance des marchandises contrefaites en ligne, filtrage de contenus) et de l’enregistrement par les offices. Afin de limiter les biais et de sauvegarder les valeurs d’intérêt public associées à la PI, le développement de ces outils devrait idéalement être entrepris sous la supervision d’experts indépendants. Dans cette optique, ce projet de recherches financé dans le cadre Actions de Recherches Concertées (ARC) et avec le soutien de l’Office Benelux de la Propriété Intellectuelle (OBPI) vise à concevoir un modèle ouvert, supervisé et transparent d’analyse des similitudes en PI (IPSAM), en se concentrant sur les images 2D. A travers ce projet interdisciplinaire, des juristes (JurisLab) et ingénieurs (LISA) examineront les défis méthodologiques, techniques, juridiques et éthiques de la construction de tels outils, afin de fournir une étude critique des solutions technologiques actuellement disponibles. Les résultats du projet permettront de contribuer de manière inédite aux débats autour de la régulation algorithmique en général et dans le domaine de la PI en particulier. Promoteur : Julien Cabay   ***   The question whether two objects are similar in a relevant manner is core to intellectual property law (IP). The answer is extremely complex and entire left to IP Offices and judges, respectively in the frame of administrative and judicial proceedings, without any proper analytic tools. Yet, algorithmic decision systems (ADS) are currently being developed and used by private companies for the purposes of IP enforcement (monitoring infringing goods online, filtering out content) and registration by IP Offices, outside of public scrutiny. In order to limit biases and to safeguard public interest values associated with IP, ideally the development of such tools should be carried out under the supervision of independent experts. In that regard, this research project funded under the ‘Actions de Recherches Concertées’ framework (ARC) and supported by the Benelux Office Office for Intellectual Property (BOIP) aims at proposing an open source, supervised and transparent model for IP Similary Assesment (IPSAM) in relation to 2D images. Through this interdisciplinary project, lawyers (JurisLab) and engineers (LISA) will review the methodological, technical, legal, and ethical challenges of building such tools, in order to provide a critical study of the currently available technological solutions. Expected findings of the project will make an original contribution to the general debate on algorithmic regulation and its ramification in the specific field of IP. Promotor : Julien Cabay   ***   Dans le cadre de ce projet / In the framework of this project: J. Cabay, T. Vandamme, “Assessing IP Similarities Through Technology: A Trademark Exploration of Challenges and Avenues”, Webinar Artificial Intelligence Technology & Policy Talk organized by the Digital Law Center, University of Geneva, 4 November 2021 (video ; slides) J. Cabay, T. Vandamme,”Le recours à la technologie pour l’analyse des similitudes en matière de propriété intellectuelle: défis et perspectives en droit des marques”, Conférence du Centre de droit. privé, ULB, 8 novembre 2021 (slides) J. Cabay, T. Vandamme, “AI-Powered Trademark Prior Art Search Tools: An Empirical Analysis ”, Conference  4th Waseda Brussels Conference – New Technologies and Regulation in Japan and Europe organized by the ULB and the Waseda University , Bip – House of the Capital Region, Brussels, 13 September 2022 (video ; slides) T. Vandamme, J. Cabay, O. Debeir, “A Quantitative Evaluation of Trademark Search Engines’ Performances through Large-Scale Statistical Analysis“, in X., Proceedings of the Nineteenth International Conference on Artificial Intelligence and Law (ICAIL 2023), June 19–23, 2023, Braga, Portugal, ACM, New York (NY, USA), 2023, pp. 343-350 J. Cabay, T. Vandamme,  “Fundamental Rights, Copyright and Content Recognition (The Good, the Bad ant the Ugly?)”, Conférence lors de la Journée d’étude de l’Association belge pour le droit d’auteur (ABA) La transposition de la Directive 2019/790 sur le droit d’auteur et les droits voisins dans le marché unique numérique en droit belge, The Hotel, Bruxelles, 21 avril 2023 (slides) J. Cabay, T. Vandamme, “Experimenting TDM (I, Robot ?)”, Conférence lors de la Journée d’étude de l’Association belge pour le droit d’auteur (ABA) La transposition de la Directive 2019/790 sur le droit d’auteur et les droits voisins dans le marché unique numérique en droit belge, The Hotel, Bruxelles, 21 avril 2023 (slides) J. Cabay, “Artificial Intelligence, Intellectual Property and Fundamental Rights Intertwined – With some Lessons from IPSAM”, Webinar in the framework of the University Diploma Artificial Intelligence and Intellectual Property, Centre d’études internationales de la propriété intellectuelle (CEIPI), Université de Strasbourg,  23 January 2024 (slides) J. Cabay, T. Vandamme, “Legally Blind? Findings on Transparency and Explainability through a Study of AI-powered TM Search Engines”, DRAILS Workshop, Université Catholique de Louvain, March 26, 2024; Midi du Centre de droit privé, Université libre de Bruxelles, March 27, 2024; Seminar on Trademarks and New Digital Technologies, Sciences Po Paris, March 28, 2024 (slides) J. Cabay, T. Vandamme, O. Debeir, “Looking through the Crack in the Black Box: A Comparative Case Law Benchmark for Auditing AI-Powered Trade Mark Search Engines”, forthcoming (acceptance decision pending) J. Cabay, “Computing Likelihood of Confusion? Lessons from IPSAM”, Trademark Law Institute Symposium on Proportitionality in Trademark Law, Maastricht University, 6-7 June 2024 (slides)  
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FAIROmics

FAIRification of multi-Omics data to link databases and create knowledge graphs for plant-based fermented food In the framework of the FAIROmics Research, the JurisLab will be in charge of research and training in relation to the Legal Aspects of Open Science. More info and job offer coming soon. Project name: FAIRification of multiOmics data to link databases and create knowledge graphs for fermented foods Grant: HORIZON-MSCA-2022-DN-01-01 Coordinator: Dominique Swennen (INRAE SayFood) ULB Partner: Julien Cabay (JurisLab) Starting of the project: 2023 Ending of the project: 31/12/2026 Abstract: A transition towards sustainable food systems is urgently needed to face challenges such as climate change or scarcity of resources. Food impact accounts for 26% of global greenhouse gas emissions. Animal-based food products in the European diet is the most important factor determining the footprint of food consumption. Plant-based dairy and meat alternatives have grown in popularity in recent years for various reasons, including sustainability and health benefits as well as lifestyle trends and dietary restrictions. However, plant-based food products can be nutritionally unbalanced, and their flavour profiles may limit their acceptance by consumers. Microorganisms have been used in making food products for millennia. Besides their primary role in food preservation, by virtue of their fermentative metabolism, they contribute to improving food safety and organoleptic properties and can provide additional health-promoting effects. However, the diversity of microbial communities driving plant-based fermentations, as well as their key genetic and phenotypic traits and potential synergies among community members, remain poorly characterized. Many data exist but they are spread into different literatures (scientific and grey) or in best case in different databases, but not always reusable because difficult to find, access and because databases are not systematically interoperable. The FAIN miss innovative interdisciplinary research programme will gather universities and private companies to enable the FAIRification of omics data and databases interoperability, and develop knowledge graphs for data-driven decision making to rationally design microbial communities for imparting desirable characteristics to plant-based fermented foods in the context of open science and its regulations. The FAIROmics training programme aims at developing Doctoral candidates’ skills at the interface between artificial intelligence, life sciences, humanities and social sciences.
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TFE interdisciplinaire Triaxes+

La séance d’information Triaxes+ 2024-2025 est organisée le 19 décembre de 12h30 à 14h au local UA.2.220. Les candidatures pour l’année 2024-2025 seront ouvertes dans la foulée et clôturée le 7 janvier.     Le projet Triaxes+ est un projet d’enseignement interdisciplinaire, interuniversitaire et interfacultaire pour les étudiants de Master 2 lancé en 2012-13 dans le cadre d’une collaboration entre l’École polytechnique de Bruxelles ULB (Prof. Alain Delchambre), Solvay Brussels School of Economics and Management ULB (Prof. Olivier Witmeur), l’Atelier de Design Industriel de l’ENSAV La Cambre (Prof. Jean Paternotte). La Faculté de Droit et Criminologie ULB participe au projet depuis 2017-18 (Prof. Julien Cabay).   Dans le cadre du projet Triaxes+, au titre de leur Travail de fin d’études, des groupes composés de quatre étudiants issus de chacune des quatre Facultés participantes imaginent, conçoivent et développent ensemble un produit industriel. Ainsi le projet permet aux étudiants de parcourir, ensemble, le processus complet du développement de pareil produit, de l’idée brute à la stratégie de commercialisation du produit, en passant par la réalisation d’un prototype et l’analyse des questions juridiques.   Chaque étudiant est amené à développer ses propres compétences au sein de l’équipe, en dialogue constant avec celle-ci. Le but de ce partenariat n’est pas d’acquérir les compétences spécifiques d’une autre discipline, mais bien de les comprendre afin de les utiliser à bon escient dans le développement commun d’un produit industriel.   Le travail est réalisé en groupe par les étudiants, lesquels sont accompagnés par l’ensemble de l’équipe encadrante lors de « séances plénières », qui permettent de garantir et d’approfondir la dimension interdisciplinaire. Le résultat final de ce travail interdisciplinaire fait l’objet d’une monographie commune, qui fait l’objet d’une défense devant un jury interdisciplinaire composé des membres de l’équipe encadrante et de professionnels issus de chacune des disciplines concernées. Elle est accompagnée d’une note disciplinaire qui fait l’objet d’une défense individuelle devant un jury disciplinaire.
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Actualités en droit de la concurrence

A. Bochon (coord.), Actualités en droit de la concurrence, Bruxelles, Larcier, coll. UB3, 2022, 154 p.   S’il a d’abord eu vocation à limiter les pratiques abusives des plus grandes entreprises, le droit de la concurrence est désormais l’affaire de toute entreprise, terme dont la définition s’est elle-même élargie au fil du temps, jusqu’à englober des acteurs du secteur dit « non marchand ». Présent au coeur des traités européens dès l’origine, le droit de la concurrence n’est plus seulement une branche du droit européen mais, fort de sa transposition dans les droits nationaux, il occupe une part entière dans le droit économique belge. Le présent volume d’actualités offre au lecteur un aperçu des développements récents tant en droit européen qu’en droit belge de la concurrence. La contribution relative au contentieux du droit belge de la concurrence dresse un tableau des aspects procéduraux souvent méconnus de nombre de praticiens et qui illustre la vivacité d’un droit belge de la concurrence qui a été maintes fois réformé au cours de la dernière décennie. S’intéressant à l’impact de la crise du Covid-19 sur la politique européenne en la matière, la contribution sur le contrôle des aides d’État souligne l’importance de ce pan entier du droit de la concurrence, à la limite des droits public et privé, qui encadre l’action publique dans le domaine économique. Enfin, la question des réflexes, des pièges et de la conformité au droit de la concurrence est abordée dans la dernière contribution qui ambitionne, à l’aune des dernières décisions de justice ou réformes législatives, de doter les praticiens d’outils précieux pour appliquer le droit de la concurrence dans la vie quotidienne des entreprises.  
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Can Law Ever Be Code? Beyond Google’s Algorithmic Black Box and Towards a Right to Explanation

L. Costa dos Anjos, Can Law Ever Be Code? Beyond Google’s Algorithmic Black Box, Thèse de doctorat en sciences juridiques, co-tutèle ULB / Universidade Federal de Menas Gerais (UFMG), 2021 Promoteurs (co-tutèle) : Julien Cabay (ULB), Fabrício Polido (Universidade Federal de Minas Gerais – UFMG) Jury : Ana Frazão (Universidade de Brasilia) ; Emílio Meyer (UFMG) ; Andrée Puttemans (ULB) ; Alain Strowel (UCL – USL B)   This thesis aims to analyze the legal relevance and forms of instrumentalization of the right to explanation of automated decisions in the context of European Union Law. Under the prisms of trade secret protection, privacy and data protection, competition and consumer law, the investigation identifies legal provisions of primary and secondary European law, as well as complementary sources, which support the existence of a right to explanation. Additionally, the proportionality in the weighing of fundamental rights can corroborate the legal and technical implementation of this right, for which this thesis proposes practical suggestions that are consistent with the Google Search platform, chosen as the object of study through which the analyzes would be carried out. Revisiting Lawrence Lessig’s idea that (computational) code would shape society’s behavior, accommodated by Shoshana Zuboff’s recent contributions on surveillance capitalism, I propose that law (norms) can also be translated into (programming) code. Many steps in this direction have already been taken and continue to be in recently proposed legislation. Robust laws in the areas of data protection, trade secrets protection, competition and consumer law currently subsidize claims for explanation that can be filed with different administrative bodies and be examined by European courts. Competition authorities have already proven that there can be real consequences in the reformulation of some of these practices in the private sector, as seen in previous cases of Google within the scope of the European Commission. Since there is a large asymmetry of information between automated decision-making platforms and its users, by disclosing a portion of an algorithm’s inner functioning (purposes, reasoning, inputs and deciding parameters taken into consideration etc.), in an appropriate fashion to the average user for whom the explanation is aimed, it is possible to better enforce consumer welfare and safeguard competition standards. The substance of this study recognizes the importance of a right to explanation as a stepping stone for algorithmic governance, especially with regard to Google’s search engine and its applications.
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Executive Master Triaxes+

TRIAXES+ is an all-new executive master’s programme in which participants examine practical case studies in depth to identify strategies and sustainable business initiatives to make their product development process more effective and more robust. Our methodology is based on collaborative practice, collective intelligence and cross-disciplinarity. It fosters teamwork, cross-disciplinary knowledge, a collaborative spirit and intra- and entrepreneurial thinking.   TRIAXES+ offers the participants a global multidisciplinary approach, based on both ambitious and concrete targets. Everything from market studies by way of pre-production to the pitch. They will have the tools needed to get the most out of product development, based on a comprehensive understanding of key features and preferred market launch strategies.   We improve their product understanding, collaborative skills and transversal competencies. We also give plenty of attention to the design phase early in the process to help the participants identifying whether their idea, purpose or service is fit for purpose and is not likely to infringe on existing intellectual property rights, thus saving precious time and resources at a later stage.   Characterized by a deep partnership between specialists from different areas – industrial designers, engineers, business analysts and intellectual property specialists – our method is designed for small and large companies, innovative SMEs (including start-ups and spin-offs), freelancers, designers and (industrial) design studios.   TRIAXES+ builds on 8 years’ experience with the TRIAXES higher education programme and methodology, internationally recognized since 2017 by the American Association of Business Schools (AACSB).   The full program, schedule and application process will be made available soon.
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FabLab ULB

Le FabLab de l’ULB est constitué d’une équipe de chercheur·se·s, d’enseignant·e·s, de technicien·ne·s et d’étudiant·e·s, issu·e·s de toutes disciplines, inscrite dans un réseau numérique initié au départ du MIT – Center of Bits and Atoms, rassemblée autour d’un lieu physique situé sur le campus Usquare (Venir à Usquare). Le FabLab ULB trouve sa raison d’être dans la volonté d’agir sur le monde et la conviction qu’à mesure que celui-ci se complexifie et se globalise, les défis de demain ne pourront être relevés par les individus et/ou les institutions isolément, mais uniquement par une communauté unie, partageant savoir, savoir-faire et action. Le FabLab ULB utilise les moyens de fabrication numérique et les technologies de l’information et de la communication pour accroître les pouvoirs de compréhension, d’explication et d’action des individus sur le monde qui les entoure. Ce faisant, ses membres innovent au point d’exercer dans un même geste leurs trois missions de recherche, d’enseignement et de service à la collectivité, qui n’en forment alors plus qu’une seule et qui constitue la raison d’être du FabLab ULB. Le FabLab ULB s’articule autour de cinq axes stratégiques. De manière générale, ils inscrivent le FabLab ULB dans le réseau des FabLabs du MIT et permettent d’utiliser l’appellation FabLab, dès lors qu’il respecte la Charte des FabLabs de 2012. De manière spécifique, ils définissent les caractéristiques propres au FabLab ULB, qui en constituent la singularité. Ces cinq axes stratégiques sont les suivants : Axe 1 – Make (almost) anything : Un lieu, une communauté et des outils pour passer de l’idée à l’objet Axe 2 – Communauté : Une communauté locale et internationale, inclusive et interconnectée, partageant la culture FabLab Axe 3 – Savoir, savoir-faire et action : Une expertise utile et partagée qui s’appuie sur des outils et techniques de fabrication numérique Axe 4 – Infrastructure : Une infrastructure souple en soutien d’un écosystème complexe, articulé autour d’un lieu physique ouvert Axe 5 – Gouvernance : Une gouvernance horizontale et agile adaptée à l’écosystème du Fablab de l’ULB
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Construire un droit des données – Designing Data Law

Le projet du Law Camp Construire un droit des données – Designing Data Law est né d’une réflexion transversale sur la problématique des données, initiée au sein de l’Unité de droit économique – FabLab de l’Université Libre de Bruxelles, sous l’impulsion de Julien Cabay (FNRS ; ULB ; ULiège) et Andrée Puttemans (ULB ; KULeuven). A la suite de cette réflexion, ils ont décidé d’organiser l’événement dont question, lequel s’est déroulé le 5 mars 2019 à l’Université Libre de Bruxelles (ULB). Il a été précédé le 4 mars en soirée d’un événement culturel, en l’occurrence une représentation théâtrale par Antoine Defoort, « Un faible degré d’originalité » (consacrée à la thématique du droit d’auteur), à la salle Delvaux à l’ULB.   Conscients de la nécessité, aux fins de la recherche, de décloisonner l’analyse sectorielle du droit des données (personnelles, non personnelles, etc.) et désireux de réaliser une première concrétisation de la réflexion qui ne soit pas cantonnée  au monde académique mais qui soit également ouverte aux mondes de la pratique et de l’industrie, les organisateurs ont décidé de nouer un partenariat avec un cabinet d’affaires international (Bird&Bird) pour la mise sur pied d’un événement d’ampleur. Afin par ailleurs de donner une dimension académique internationale à l’événement, ont été associées les Universités de Genève, de Montréal et de Liège.   Le programme a été établi sous la coordination de Julien Cabay et d’Andrée Puttemans, entourés d’un comité scientifique international composé en outre de Jacques de Werra (Université de Genève), Séverine Dusollier (Sciences Po Paris), Ysolde Gendreau (Université de Montréal), Alain Strowel (UCL-USL-KULeuven) et Pieter Van Cleynenbreugel (ULiège).   Le Law Camp repose sur un format inédit élaboré spécialement pour l’événement. L’événement était en effet entièrement bilingue (FR-EN), interactif et prospectif.   Ainsi, les intervenants, tous sélectionnés (pour partie sur invitation personnelle, pour partie suite à un appel à contribution) pour leur expertise dans les domaines de la propriété intellectuelle, des données personnelles, du droit des technologies etc., ont été sollicités pour formuler une proposition originale et inédite qui soit de nature à contribuer à la construction d’un droit des données.   En matinée, 24 propositions, réparties en 8 panels, ont été présentées, discutées et ont fait l’objet d’un vote électronique. L’après-midi, l’ensemble des discussions de la matinée ont été résumées en assemblée plénière et les 8 propositions qui avaient été recueilli la majorité des votes favorables en matinée ont à nouveau fait l’objet d’un vote électronique.   Les 8 panels étaient les suivants : Données et propriété intellectuelle Données personnelles dans la vie des entreprises Données et secrets d’affaires La donnée comme objet juridique Données et autorités publiques Données et proportionnalité Données et traitement automatisé Données, sciences et éducation   Chose exceptionnelle et qui doit être soulignée, les organisateurs ont veillé à ce que chacun des 8 panels soit mixte. On relèvera également que parmi les orateurs issus du monde académiques, pas moins de 17 universités (issues de plusieurs pays : Belgique, Brésil, Canada, France, Pays-Bas, Pologne, Suisse) étaient représentées.   Le programme était encore agrémenté de deux keynote speeches, respectivement par Alexei Grinbaum (Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) Paris Saclay) et Malte Beyer-Katzenberger (Commission européenne, DG Connect).   Le Law Camp a connu un important succès. Les nombreux participants ont souligné la profondeur des réflexions des orateurs, l’intérêt des discussions en panel et l’originalité de la formule.
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Droit du numérique – Contrat, innovation, données et sécurité

B. Docquir, Droit du numérique – Contrats, innovation, données et sécurité, Bruxelles, Larcier, 2018, 677 p.   Les implications du numérique dans la vie des affaires sont nombreuses : droit des contrats, propriété intellectuelle, respect des libertés fondamentales et en particulier protection des données personnelles, etc. Le « droit du numérique » veut en proposer une approche claire et didactique, centrée sur les préoccupations du praticien, en le guidant à travers les enseignements de la loi, de la jurisprudence et de la doctrine. L’ouvrage aborde en premier lieu les contrats « informatiques », sous l’angle du droit privé et des relations entre professionnels. Il s’agit d’assister le praticien confronté à un projet d’informatisation ou, plus largement, au contrat comme matrice de la distribution des produits, services et autres « contenus numériques ». L’étude devrait lui permettre de mieux maîtriser les enjeux de négociation et de rédaction de ces conventions. Les règles du droit d’auteur et plus largement des droits intellectuels dans l’environnement numérique retiennent ensuite l’attention. La protection des innovations et des actifs immatériels, y compris les informations confidentielles et les secrets d’affaires, apparaissent en effet comme un enjeu majeur et stratégique pour toutes les entreprises. Un large pan de l’étude est ensuite consacré au droit de la protection des données et plus particulièrement au règlement européen n° 2016/679, dit « GDPR », qui entre en application le 25 mai 2018. Celui-ci est resitué dans son contexte et fait l’objet d’un commentaire systématique et approfondi, à la lumière des premiers commentaires doctrinaux ainsi que des lignes directrices les plus récentes formulées par les régulateurs belge et européen. L’ouvrage se clôt par l’analyse de certaines questions choisies comme la responsabilité des intermédiaires ou les nouvelles règles en matière de sécurité informatique. Même si l’informatique et l’intelligence artificielle risquent de profondément transformer les métiers du droit, il reste aujourd’hui beaucoup de travail pour le juriste qui doit appréhender ces bouleversements et accompagner la transformation digitale des entreprises et des organisations en général. Formons le voeu que cet ouvrage puisse efficacement l’assister.
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La réparation des dommages de masse

E. Falla, Les dommages de masse: Propositions pour renforcer l’efficacité de l’action en réparation collective, Thèse de doctorat en sciences juridiques, ULB, 2016 , publiée sous le titre E. Falla, La réparation des dommages de masse : Propositions visant à renforcer l’efficacité de l’action en réparation collective, Bruxelles, Larcier, 2017, 812 p. Promotrice (co-tutèle) : Andrée Puttemans (ULB), Catherine Piché (Université de Montréal) Jury : Hakim Boularbah (ULiège) ; Paul Alain Foriers (ULB) ; Pierre Claude Lafond (Université de Montréal) ; Arnaud Nuyts (ULB) ;  Stefaan Voet (KU Leuven)     Le présent ouvrage examine l’application du droit commun de la responsabilité civile dans le cadre de l’action en réparation collective dans la perspective que ce type d’action aboutisse, en pratique, à une indemnisation effective des victimes des dommages de masse ainsi qu’à une prévention de ce type de dommage tout en conciliant le respect des droits des parties et l’économie des ressources judiciaires. Dans une première partie, après avoir dressé le constat que la loi du 28 mars 2014 (portant insertion d’un titre 2 « De l’action en réparation collective » au livre XVII « Procédures juridictionnelles particulières » du Code de droit économique et portant insertion des définitions propres au livre XVII dans le livre 1er du Code de droit économique) comporte des faiblesses importantes, il est démontré qu’elle se concilie mal avec le droit commun de la responsabilité civile que l’action en réparation collective tend cependant à mettre en œuvre et ce, en particulier, lorsque le tribunal saisi fera le choix du mécanisme de l’option d’exclusion pour composer le groupe. Le droit de la responsabilité civile est en effet fondé sur une approche individualiste. La victime doit établir non seulement une faute, ou plus généralement un fait générateur, mais encore un dommage personnel en relation causale avec cette faute. De plus, il n’a pas été conçu pour répondre à l’hypothèse où les personnes à indemniser sont inconnues au moment où le juge se prononce sur le fond de la demande. D’où l’invitation à s’interroger, dans une deuxième partie, sur la manière dont le droit québécois est parvenu à assurer une coordination de l’action collective avec le droit commun de la responsabilité civile. Le choix du Québec comme point de comparaison s’explique, d’une part, par l’expérience acquise depuis l’entrée en vigueur le 19 janvier 1978 de la loi sur le recours collectif et, d’autre part, par la proximité des droits québécois et belge qui s’inscrivent dans la même tradition civiliste même si le droit québécois entretient également des rapports étroits avec la common law. Sur la base de l’examen de droit comparé et après une analyse au regard du principe constitutionnel d’égalité et de non-discrimination, il est proposé, dans une troisième partie, d’ « importer » en droit belge trois « outils » issus du droit québécois pour renforcer l’efficacité du système en place en Belgique.  
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Propriété intellectuelle & concurrence déloyale – Les liaisons dangereuses ?

A. Puttemans, Y. Gendreau, J. de Werra (eds.), Propriété intellectuelle & concurrence déloyale – Les liaisons dangereuses ?, Bruxelles, Larcier, 2017, 328 p. Dans notre monde globalisé, la propriété intellectuelle est devenue un enjeu majeur, directement lié à la création, à la recherche, à l’innovation et à la liberté d’expression. Sa protection, généralement limitée dans le temps, dépend d’un ensemble de conditions de fond (originalité, caractère distinctif, nouveauté etc., selon le droit intellectuel considéré) et souvent aussi de forme (enregistrement). Il est tentant, lorsque ces conditions de protection ne sont pas ou plus réunies, de chercher secours dans le droit de la concurrence déloyale. Le présent ouvrage, résultat d’un colloque organisé à la Fondation universitaire de Bruxelles, le 14 avril 2016, conjointement par les universités du G-3*, a pour objet d’examiner concrètement si le droit de la concurrence déloyale présente des effets de substitution ou de complément par rapport au droit « classique » de la propriété intellectuelle et si ces effets sont conformes aux règles, aux équilibres et aux objectifs qui gouvernent la matière. Les questions relatives à l’enchevêtrement des règles de la propriété intellectuelle et de la concurrence déloyale, et notamment à l’effet réflexe du droit de la propriété intellectuelle, à la théorie de la concurrence parasitaire, au risque de confusion, à la règle « pas de protection sans enregistrement » ainsi qu’à la protection des secrets sans brevet, y sont examinées au travers de la jurisprudence et donc de cas pratiques. Le droit belge est au centre de l’ouvrage (avec des contributions d’A. Puttemans, J. Cabay, J-F Puyraimond, Ph. Campolini) mais celui-ci s’enrichit de l’éclairage très précieux, parfois étonnant, du droit comparé, grâce à l’apport des meilleurs spécialistes de ces questions en droits français (N. Binctin), néerlandais (A. Quaevlieg), suisse et allemand (J. de Werra et Y. Benamou), canadien et québécois (Y. Gendreau et F. Martin-Bariteau), ainsi, bien sûr, que du droit international et européen (J. Stuyck et J. Cabay).    
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Avis sur la transposition de la directive 2016/943 (secrets d’affaire)

Avis du 13 juin 2017 Conseil de la propriété intellectuelle sur la transposition de la directive 2016/943 (secrets d’affaire) Lors de sa réunion du 5 décembre 2016, le Conseil de la Propriété intellectuelle a décidé, conformément à l’article 6, § 1er, de l’arrêté royal du 5 juillet 2004, de confier à un groupe de travail ad hoc l’examen d’un avant-projet de loi transposant en droit belge la Directive 2016/943 sur la protection des savoir-faire et des informations commerciales non divulgués (secrets d’affaires) contre l’obtention, l’utilisation et la divulgation illicites. Madame Andrée Puttemans a assuré la présidence du groupe de travail. Le groupe de travail a élaboré un projet d’avis qui a été adopté par le Conseil de la Propriété Intellectuelle à l’occasion de sa séance plénière du 13 juin 2017. Lors de la discussion du projet d’avis, le Conseil a souligné que la directive sur la protection des secrets d’affaires ne crée pas un droit exclusif opposable à tous, mais impose certaines normes de comportement afin de respecter les usages honnêtes au regard des secrets d’affaires. Si le régime organisé par la directive s’inspire parfois de la Directive 2004/48 sur le respect des droits de propriété intellectuelle, il convient toutefois de préciser que la Directive 2016/943 précitée et l’avant-projet de loi visent à organiser les mesures et procédures permettant au détenteur de secrets d’affaires de s’opposer à l’obtention, l’utilisation ou la divulgation illicite de secrets d’affaires et d’obtenir réparation de son dommage, et non à créer un droit exclusif d’interdiction. Le Conseil a également souligné que l’avant-projet de loi, tout comme la directive, imposent lors de l’application de leurs dispositions, le respect des droits et libertés fondamentaux, dont la liberté d’expression et d’information.
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Vers un droit européen de la protection des données ?

B. Docquir (coord.), Vers un droit européen de la protection des données ?, Bruxelles, Larcier, coll. UB3, 2017, 176 p.   Le Parlement européen a entériné le 14 avril 2016 une importante réforme des règles de protection des données à caractère personnel. Les principaux axes de cet ambitieux chantier législatif sont une harmonisation plus poussée au sein de l’Union, et une réponse aux multiples évolutions sociétales survenues depuis l’adoption de la directive européenne 95/46. Les règles nouvelles entreront en vigueur en 2018, mais toutes les organisations et entreprises doivent dès à présent se préparer à de nombreux changements. Ceux-ci concernent notamment les « notices vie privée » et l’information des consommateurs, mais la réforme n’est nullement confinée à ce seul domaine. Au contraire, le législateur de l’Union a consacré des obligations nouvelles très concrètes pour la plupart des entreprises et des organisations : tenir un registre interne des traitements, désigner un « délégué à la protection des données », conduire des études d’impact préalables, renforcer les mesures de sécurité, etc. Les entreprises et organisations doivent aussi anticiper une transformation profonde de leurs relations avec le régulateur. En effet, celui-ci sera désormais doté de pouvoirs de sanction et d’enquête très étendus. C’est pourquoi il a paru utile de présenter les principaux aspects du nouveau régime, dans une approche résolument pragmatique, en donnant la parole à des praticiens du secteur.  
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Droit économique comparé

A. Puttemans, Droit économique comparé, Limal, Anthemis, 2016, 144 p.   La démarche comparative, par l’ouverture du regard à laquelle elle invite, aiguise l’esprit critique envers le droit national et permet d’envisager des propositions d’amélioration de celui-ci fondées sur l’expérience acquise ailleurs. Elle est aussi le préalable indispensable à toute tentative d’harmonisation de différents droits. Appliquée au droit des affaires, elle présente un intérêt pratique et scientifique tout particulier dans un contexte de globalisation et de mutation profonde de l’économie et de la vie en société. Dans cette optique, l’auteure a choisi quatre thèmes actuels pour mettre en œuvre cette démarche : l’autonomie du droit économique et commercial face aux systèmes d’unification du droit privé (comparaison entre les régimes juridiques applicables en France, en Belgique, en Allemagne, au Royaume-Uni, aux États-Unis et aux Pays-Bas), les recours collectifs ou actions de groupe en droit économique (comparaison entre les régimes en vigueur notamment aux États-Unis, au Québec, aux Pays-Bas, en France, en Belgique et dans l’Union européenne), le droit de la concurrence (États-Unis versus Union européenne), la portée et l’application de la liberté de circulation des marchandises dans l’Union européenne, aux États-Unis, au sein de l’ALENA et selon les règles de l’OMC. Le présent ouvrage nourrit l’enseignement du droit économique comparé que son auteure dispense à la Faculté de droit et de criminologie de l’Université libre de Bruxelles. Il est donc destiné aux étudiants mais aussi aux chercheurs et aux praticiens des différentes matières qui font l’objet de ces questions choisies de droit économique comparé.
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L’objet de la protection du droit d’auteur – Contribution à l’étude de la liberté de création

J. Cabay, L’objet de la protection du droit d’auteur – Contribution à l’étude de la liberté de création, Thèse de doctorat en sciences juridiques, ULB, 2016, 690 p. Promotrice : Andrée Puttemans (ULB) Jury : Alain Berenboom (ULB) ; Jane C. Ginsburg (Columbia Law School) ; Frank Gotzen (KUL) ; Arnaud Nuyts (ULB) ; Alain Strowel (UCL – USL-B) ; Edouard Treppoz (Université Lyon-III) Prix Alice Seghers 2015-2016 de la Faculté de droit de l’ULB   L’objectif de la recherche doctorale de Julien Cabay consiste en la définition de l’étendue du principe de la liberté de création en droit d’auteur, à travers l’analyse de l’objet de la protection du droit d’auteur.   La partie introductive de la thèse est consacrée à la problématisation. Le principe de liberté de création est déduit des normes de droit international et constitutionnelles relatives d’une part à la liberté d’expression, d’autre part à la liberté d’entreprendre. Il est ensuite démontré que le droit d’auteur constitue une limite à cette liberté, contenue dans ses effets et dans son principe par le régime juridique afférent. Elle est contenue dans ses effets par le régime relatif à la durée, aux exceptions et limitations et à la mise en œuvre du droit d’auteur, lesquels sont étudiés de manière générale pour justifier leur exclusion de la recherche. Elle est par ailleurs contenue dans son principe par le régime juridique relatif à l’ « objet de la protection du droit d’auteur », dont une définition est donnée pour cerner le périmètre de l’étude. Au sens de la thèse, l’ « objet du droit d’auteur » vise l’œuvre littéraire, artistique et musicale, à l’exclusion des créations olfactives, gustatives et tactiles, des programmes d’ordinateur et des bases de données. Quant à la « protection du droit d’auteur », elle vise la protection conférée par les droits de reproduction et d’adaptation.   Les première et deuxième partie de la thèse sont consacrées à l’étude critique de l’objet de la protection du droit d’auteur au sens précité, respectivement en droit positif de l’Union européenne et en droit belge. La structure générale est identique dans les deux parties. Un premier chapitre est consacré aux conditions de la protection, à savoir l’originalité et la forme (expression). Un second chapitre est consacré aux conditions de la contrefaçon, à savoir les similitudes et l’emprunt coupable. L’étude porte sur l’ensemble de la jurisprudence respectivement de la Cour de justice de l’Union européenne (spécialement depuis son arrêt Infopaq de 2009) et des juridictions belges (Cour de cassation et juridictions de fond) publiée depuis 1989 (date des premières interventions pertinentes de la Cour de cassation sur le sujet). Pour ce qui concerne le droit de l’Union européenne, l’étude de droit positif est accompagnée, pour tous les aspects qui ne reçoivent pas de réponse à l’heure actuelle, d’une lecture prospective au départ de la jurisprudence de la Cour de justice dans d’autres domaines de la propriété intellectuelle et/ou en droit d’auteur comparé. Pour ce qui concerne le droit belge, l’étude de droit positif est accompagnée d’une part, d’un examen de sa compatibilité (largement vérifiée) avec le droit de l’UE et d’autre part, d’une lecture prospective vers un affinement du droit de l’UE au départ des solutions jurisprudentielles nationales.   La dernière partie propose en conclusion un modèle synthétique de l’objet du droit d’auteur en droit de l’Union européenne (précisé au départ des solutions jurisprudentielles belges) et de la liberté de création. Le modèle repose sur trois notions. Premièrement, la figure abstraite du « créateur », dont la fonction consiste à déterminer si une contribution intellectuelle déterminée peut être attribuée à un individu déterminé. Deuxièmement, la figure abstraite du « public destinataire », dont la fonction consiste à déterminer les contours d’une contribution intellectuelle. Troisièmement, le principe du « juste équilibre », dont la fonction consiste à déterminer, parmi les contours d’une contribution intellectuelle déterminée attribuée à un individu déterminé, lesquels doivent bénéficier de la protection du droit d’auteur et ceux qui doivent en être exclus. Une construction rationnelle et systématique du droit positif est fournie en application de ce modèle. Enfin, il est démontré que l’avènement de la société de l’information a modifié les termes du juste équilibre, commandant l’abandon de certaines solutions du passé.
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Actualités en droits intellectuels – L’intérêt de la comparaison

B. Docquir (coord.), Actualités en droits intellectuels – L’intérêt de la comparaison, Bruxelles, Bruylant, UB3, 2015, 445 p.   Le domaine de la propriété intellectuelle a connu récemment des évolutions importantes, indépendamment de l’insertion de très larges pans de cette matière dans le Code de droit économique. Plusieurs des rapports ici proposés y seront consacrés, dans une approche résolument pratique. Les auteurs feront également le point sur l’épineuse question de la protection du savoir-faire et des informations confidentielles, qui est en passe de subir des modifications importantes en cas d’adoption de la proposition de directive relative aux secrets d’affaires.   Mais l’objectif avoué de cet ouvrage est aussi, par la confrontation des points de vue ou des matières, de mettre en évidence certains points de convergence ou de divergence entre les droits intellectuels, notamment en ce qui concerne l’appréciation de la contrefaçon ou encore le mouvement d’harmonisation des régimes de propriété intellectuelle en Europe.   Enfin, vu leur importance pour les praticiens, la défense des droits intellectuels ne sera pas oubliée. Le lecteur trouvera donc notamment des rapports consacrés à l’action en cessation, aux mesures douanières ainsi qu’à la question de l’indemnisation du dommage résultant de l’atteinte à un droit intellectuel.
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20 ans de nouveau droit d’auteur – 20 jaar nieuw auteursrecht

J. Cabay, V. Delforge, V. Fossoul, M. Lambrecht (éds.), 20 ans de nouveau droit d’auteur – 20 jaar nieuw auteursrecht, Limal, Anthemis, 2015, 398 p.   L’année 2014 a célébré les vingt ans de la loi du 30 juin 1994 relative au droit d’auteur et aux droits voisins. Ce « nouveau » droit d’auteur est venu dépoussiérer celui déposé dans une loi du 22 mars du 1886. Mais aujourd’hui, n’est-il pas lui-même désuet, démodé, dépassé ? Car au moment même de l’adoption de ce nouveau droit d’auteur, une révolution était en marche, sans pareil et dont nul ne pouvait à l’époque imaginer l’impact. Les années 1990 ont marqué l’avènement de la société de l’information et dans la foulée, l’accélération de l’intégration des marchés dans une économie globalisée, et ce, particulièrement dans l’Union européenne. De l’analogique au numérique, du national à l’européen et au mondial, nous sommes entrés dans une nouvelle ère. Certains ont vécu la transition. D’autres sont les enfants de cette nouvelle époque. Parmi les premiers figurent les experts à qui l’on doit ce nouveau droit d’auteur. Parmi les seconds, une nouvelle génération de chercheurs et praticiens qui aspirent à forger le droit d’auteur de demain. Afin de commémorer les vingt ans du nouveau droit d’auteur, marqué qui plus est par sa codification dans le nouveau Code de droit économique (en vigueur au 1er janvier 2015), le présent ouvrage propose d’ouvrir un débat intergénérationnel sur l’ensemble de la matière avec pour fil(s) rouge(s) internet et l’harmonisation internationale et européenne du droit d’auteur.
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Le droit de la consommation dans le nouveau Code de droit économique

A. Puttemans (coord.), Le droit de la consommation dans le nouveau Code de droit économoique, Bruxelles, Larcier, coll. UB3, 2014, 172 p.   Le droit de la consommation fait une entrée en force dans le tout nouveau Code de droit économique, dont les dispositions pertinentes (en particulier le Livre VI) entreront en vigueur le 31 mai 2014. La loi du 6 avril 2010 sur les pratiques du marché et la protection du consommateur (LPMC) sera abrogée à la même date. Ce droit, en constante et profonde évolution, trouve sa source principale dans le droit de l’Union européenne. La jurisprudence de la Cour de Justice mérite ainsi une attention toute particulière, d’autant qu’elle est de plus en plus abondante en la matière et d’une lecture parfois peu aisée. Le traité sur le fonctionnement de l’Union européenne impose à l’Union d’assurer aux consommateurs un niveau de protection élevé. La technique de l’harmonisation maximale, au coeur de la directive 2005/29 sur les pratiques commerciales déloyales envers les consommateurs et, dans une mesure plus ciblée, de la directive 2011/83 relative aux droits des consommateurs, suscite, à cet égard, l’interrogation et la controverse. Par ailleurs, le seul droit matériel, fût-il très développé, ne permet pas d’atteindre l’objectif d’une protection élevée si les consommateurs n’ont pas le moyen de le mettre en oeuvre de manière effective. L’Union européenne débat depuis longtemps de l’introduction dans l’Union d’une forme de recours collectif mais ses travaux n’ont jamais abouti au moindre texte contraignant en la matière. Le législateur belge vient de franchir le pas. Il n’est pas certain, toutefois, que ce pas soit suffisant pour rencontrer les attentes qu’il suscite. Andrée Puttemans et Laura Marcus traitent dans cet ouvrage de l’interdiction des pratiques déloyales envers les consommateurs qui, selon la directive 2005/29, se décline en trois catégories distinctes de normes. Elles analysent de manière approfondie et critique les arrêts marquants de la Cour de justice et leur incidence sur la loi belge (aujourd’hui : le Code de droit économique), et son application. Anthony Bochon et Yannick Ninane examinent, avec attention et en soulignant leurs zones d’ombre, les dispositions récentes qui concernent les contrats de consommation, et tout spécialement la transposition de la directive 2011/83 sur les droits des consommateurs dans le Code de droit économique. Cette dernière concerne principalement l’information précontractuelle des consommateurs ainsi que le régime général des contrats à distance et celui des contrats conclus hors des locaux de l’entreprise. Enfin, Élodie Falla examine le titre 2 (« De l’action en réparation collective ») du Livre XVII (« Procédures juridictionnelles particulières ») du Code de droit économique, qui entrera en vigueur le 1er septembre 2014. Le droit belge va, pour la première fois, connaître une forme de recours collectif, permettant à un requérant de représenter un groupe de consommateurs préjudiciés afin d’obtenir la réparation de leur préjudice collectif. L’analyse est précise, documentée et pragmatique, donc critique.
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The Role of the Court in Collective Redress Litigation : Comparative Report

E. Falla, The Role of the Court in Collective Redress Litigation : Comparative Report, Bruxelles, Larcier, 2014, 322 p.   The key question facing European policy-makers is how to enable collective redress proceedings without producing the undesirable consequences that are associated with the U.S. class action model. How is it possible to find the balance between providing compensation for legitimate claims and preventing unmeritorious claims? If the system encourages the vast majority of claims to be settled, how can it avoid the ‘blackmail effect’, which means it will be cheaper for defendants to settle unmeritorious claims than to fight them? How is it possible to avoid excessive transactional costs? etc. In this report, it is considered that one of the of the important safeguards against the abuses of the U.S. class action system could be the active role of the court in collective redress litigation. Research is needed to see what concrete judicial powers are the most important in that respect. This report tries to achieve this challenge. The first part of the report consists in a comparative analysis of national rules and case law in six Member States (United Kingdom (England & Wales), Germany, Italy, Portugal, Spain and Sweden) to identify which powers of the court in a collective redress trial ensure fair proceedings for both parties and act as safeguards against potential abuses of the system. Cases have been selected to illustrate the issues that arise and some of the creative solutions that have been applied so far by the courts at each stage of a collective redress procedure. The second part of this report aims at looking ahead to ways in which recommendations for an optimal balanced framework for a European collective redress mechanism would be formulated. The result of the case analyses set out in this report attempts to demonstrate whether the European Union might be able to introduce an attractive approach towards collective redress which builds on previous knowledge by fusing different national approaches and provides benefits to consumers, competitors and the economy, without harmful risks.
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Les aspects juridiques de l’art contemporain

A. Puttemans, B. Demarsin (sous la dir. de), Les aspects juridiques de l’art contemporain, Bruxelles, Larcier, 2013, 158 p.   L’art contemporain fait des vagues. Qui n’a pas froncé les sourcils devant une oeuvre impénétrable, énigmatique, dérangeante, voire iconoclaste ? L’évolution artistique a rendu de plus en plus incertains les concepts mêmes d’oeuvre et d’artiste, notions clés de toute approche juridique dans ce domaine. Malgré son caractère controversé, la création artistique contemporaine ne semble pas avoir jusqu’ici suffisamment retenu l’attention des juristes. C’est la raison pour laquelle l’Unité de droit économique de l’Université libre de Bruxelles (U.L.B.) et l’Unité Art, Law & Management de la KU Leuven ont organisé à Bruxelles, au musée d’art contemporain Wiels, le 12 mai 2011, un colloque autour des particularités juridiques de la création artistique contemporaine. Le présent ouvrage en reproduit les Actes, sous la direction des professeurs Andrée Puttemans, Doyenne de la Faculté de droit et de criminologie de l’U.L.B., et Bert Demarsin, Vice-Doyen de la Faculté de droit de la HUB (Hogeschool — Universiteit Brussel). Julien Cabay analyse d’un regard neuf la notion d’oeuvre en droit d’auteur, sous l’éclairage des pratiques de la création artistique contemporaine. Hendrik Vanhees nous entretient ensuite du régime du droit de suite, qui permet à l’auteur d’une œuvre d’art moderne ou contemporain de percevoir une participation sur le prix des reventes de son œuvre et qui constitue ainsi un paramètre dont les acteurs du marché tiennent compte pour la détermination du lieu de vente idéal. Enfin, Bert Demarsin commente une panoplie de cas limites nés de difficultés d’application du droit fiscal au domaine de l’art, provenant de diverses juridictions, et propose une approche pragmatique du problème éternel de la définition de l’œuvre d’art (contemporain).
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La protection des droits intellectuels par l’action en concurrence déloyale

A. Puttemans, La protection des droits intellectuels par l’action en concurrence déloyale, Thèse de doctorat en sciences juridiques, ULB, 1999, 574 p., publiée sous le titre A. Puttemans, Droits intellectuels et concurrence déloyale – Pour une protection des droits intellectuels par l’action en concurrence déloyale, Bruxelles, Bruylant, 2000, 569 p. Promoteur : Michel Hanotiau   Les domaines respectifs de la propriété intellectuelle (brevet d’invention, marque, droit d’auteur, droit sui generis sur les bases de données, etc.) et de la concurrence déloyale (création d’un risque de confusion, publicité trompeuse, vol de secrets d’affaires, …) présentent une importance croissante dans notre société dite de “de l’information”. De plus en plus vastes, ils sont aussi de plus en plus complexees. Quelles sont les origines, les modalités concrètes et les raisons d’être de l’action en contrefaçon de ces différents droits intellectuels, d’une part, et de l’action en concurrence déloyale, de l’autre ? Pourquoi la Cour de cassaion puis le législateur belges ont)ils cru devoir créer un véritable schisme entre l’action en contrefaçon et l’action en cessation en matières de pratiques du commerce ? Comment et dans quels cas les juges de la cessation ont-ils réussi, depuis plus de soixante ans, à contourner – ou à ignorer – cette interdiction du cumul des actions ? Qeulle est la relation entre cette question et celle de l’effet réflexe des lois de propriété intellectuelle (“Pas de protection sans dépôt”, “Pas de protection sans loi spéciale”) ? Quelle est l’incidence en matière de théorie de la concurrence illicite ? Au fil d’une plume alerte et précise, Andrée Puttemans répond à ces interrogations et plaide résolument en faveur du cumul. Elle démontre que l’ouverture de l’action en concurrence déloyale, principalement sous la forme d’une action en cessation (action au fond, “comme en référé”), à toutes les personnes lésées par la violation d’un droit intellectuel (en ce compris, par exemple, les consommateurs lésés), pourrait enfin permettre de combrattre la contrefaçon dans ses divers aspects, tout en respectant l’équilibre voulu par le législateur (belge ou supranational) entres les intérêts respectifs du titulaire du droit et des autres opérateurs économiques. Andrée Puttemans illustre et nourrit sa thèse d’une multitude d’exemples tirés de la jurispruedence et tord le cou à certains idées fausses, parfois bien ancrées dans les esprits et trop souvent enseignées sans une nécessaire distance critique. Le praticien, même novice, aidé par un index très complet, trouvera dans cet ouvrage une mine de renseignements concrets et clairement exposés. Il reste à espérer que, pour sa part, le législateur y trouve un jour une  bénéfique source d’inspiration.
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Présentation du JurisLab

Une unité de recherche du Centre de droit privé, au coeur du FabLab ULB Le JurisLab est unité de recherche consacrée au droit de la création et de l’innovation. Inscrit dans une approche interdisciplinaire, le JurisLab est installé dans le FabLab ULB où ses membres collaborent avec des académiques et scientifiques issus d’autres Facultés de l’ULB (Architecture, École polytechnique, Sciences). Les recherches collectives et individuelles  qui y sont menées couvrent spécialement les droits de la propriété intellectuelle, des données, de la consommation, de la concurrence et de la concurrence déloyale, ainsi que les interactions entre eux. Les recherches collectives s’articulent notamment autour de six axes : Propriété intellectuelle, secrets d’affaires, données et intelligence artificielle Créations et science ouvertes Consommation, marques, concurrence et données personnelles Innovation et droit Art et droit Innovations pédagogiques Les membres du JurisLab sont des académiques et/ou praticiens des matières concernées. Ils ambitionnent de contribuer de manière prospective au développement de ces matières, en considération des divers intérêts en présence. Ils jouissent d’une indépendance et d’une autonomie complète dans le cadre de leurs recherches. Ils adhèrent aux principes d’Open Data, Open Source et Open Access. Leurs publications sont disponibles dans DI-fusion, le dépôt institutionnel de l’ULB. Le JurisLab est inscrit dans divers réseaux de recherches et entretient des collaborations étroites au niveau national (LCII de l’Université de Liège) et international (Pan-European Seal Network, Global Network of Internet and Society Research Centers, G3). Il accueille des chercheurs visiteurs sur demande. Le JurisLab a été co-fondé en 2019 par les Prof. Andrée Puttemans et Julien Cabay. Avant cette date, les recherches dans les domaines d’activités du JurisLab étaient menées au sein de l’Unité de droit économique (sous la direction d’Andrée Puttemans).   Direction : Julien Cabay Contact : cndrpriv@ulb.be fablab@ulb.be Adresse : Usquare – Bâtiment G (1er étage) – CP 270 Rue Fritz Toussaint, 8 1050 – Bruxelles          
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